« Le bon sens a prévalu » : le pub Burgundy Lion peut conserver son enseigne après que l'organisme de surveillance de la langue du Québec a admis une erreur
L'organisme de surveillance de la langue officielle au Québec a admis avoir eu tort de demander au pub Burgundy Lion de modifier son enseigne dans un différend qui a attiré l'attention du public cette semaine.
By Harry North.
L'Office québécois de la langue française avait initialement inspecté le pub et le copropriétaire, Toby Lyle, avait indiqué qu'on lui avait indiqué que le mot « Burgundy » sur l'enseigne devait être mieux mis en évidence en français en vertu des nouvelles règles linguistiques. M. Lyle a soutenu que ce nom reflétait l'histoire et l'identité culturelle du quartier.
Il s'agissait du dernier affrontement dans la campagne du premier ministre François Legault visant à renforcer le français dans la vie publique. Depuis l'entrée en vigueur en juin des nouvelles règles radicales prévues par le projet de loi 96, de nombreux commerçants sont aux prises avec les coûts et la bureaucratie liés à leur mise en conformité. La loi exige que tout nom non français figurant sur une enseigne soit accompagné d'un texte français plus grand, couvrant tout ce qui est visible de l'extérieur. Les plaintes anonymes peuvent donner lieu à des inspections, et les infractions sont passibles d'amendes pouvant atteindre 30,000 XNUMX $ par jour.
Lyle a déclaré que la réunion avec l'OQLF avait « mal tourné » presque immédiatement lorsque l'inspecteur lui avait demandé comment prononcer son nom de famille.