Opinion : Les anglophones n’ont pas à désespérer — et n’ont pas à quitter le Québec
La question de savoir si les Québécois anglophones devraient rester ou partir a été soulevée à nouveau, cette fois dans une chronique désespérante de la Gazette du 11 avril, écrite par Toula Drimonis, qui racontait l'histoire d'une allophone bilingue, lassée de se sentir ennemie chez elle. C'est une histoire familière.
En tant que membre du conseil d'administration du Québec Community Groups Network, l'un des principaux organismes de défense des droits des anglophones d'ici, je sais que la communauté a subi de lourdes pertes ces dernières années sous le gouvernement de la Coalition Avenir Québec. Mais nous ne sommes pas des paillassons, comme certains l'ont suggéré, et nous ne devons pas désespérer.