Certains groupes anglophones ont refusé de rencontrer le ministre de la Langue du Québec. Voici pourquoi.
Le QCGN et sa directrice générale, Sylvia Martin-Laforge, ont fait preuve d'une grande audace en refusant une rencontre avec le ministre de la Langue française du Québec, Jean-François Roberge, pour discuter des directives relatives à la langue dans les services de santé, affirme Andrew Caddell, président du Groupe de travail sur la politique linguistique. « Pourquoi s'asseoir ? », demande-t-il, « alors qu'il s'agira d'une autre consultation comme celle de Concordia et de McGill, où, en gros, le gouvernement leur impose les conditions au lieu de tenir une véritable consultation ? »